5 bonnes raisons de travailler dans la branche du commerce de détail de l'habillement et des articles textiles
La branche du commerce de l’habillement et des articles textiles regroupe 63 609 salariés, principalement des vendeurs. Les magasins qui recrutent sont divers : des boutiques indépendantes de prêt-à-porter, multimarques, monomarques, affiliées ou franchisées à une enseigne.
Les défis du secteur de l’habillement, challenges motivants pour ses salariés
La branche du commerce de l’habillement et des articles textiles regroupe les magasins qui vendent aussi bien des vêtements pour hommes, enfants ou femmes que de la lingerie, des robes de mariées, des rideaux, du linge de maison, des chapeaux, de la mercerie, de la ganterie... Ces boutiques sont nombreuses (40 649 boutiques) et toutes sont confrontées à plusieurs défis. Pour fidéliser la clientèle, il faut être de plus en plus inventif voire créatif et s’adapter sans cesse à l’évolution très rapide des modes voire les anticiper. Il n’est pas rare que certaines marques de vêtements présentent plusieurs collections par an. Il faut être à l’écoute des consommateurs de plus en plus exigeants et connectés aux différents sites et blogs d’influenceurs de mode par exemple. Il faut également s’adapter à la montée en puissance de la vente en ligne, qui peut non seulement représenter une concurrence accrue mais aussi un atout si on sait en faire un levier de vente. Ces différents enjeux rendent le secteur particulièrement attractif et dynamique.
L’humain au cœur des compétences recherchées
Si les compétences recherchées sont nombreuses, elles sont avant tout liées à un bon sens de relations. La relation client, la convivialité, l’écoute, le travail en équipe sont les qualités demandées à un bon vendeur ou responsable de magasin. Ce secteur laisse aussi s’exprimer l’imagination, la passion de la mode, la curiosité qui permettent de dénicher de nouveaux produits ou d’anticiper de nouvelles tendances.
La polyvalence des tâches au quotidien est également un atout qui ne laisse pas de place à la routine. Ainsi, le « merchandising » permet d’exprimer sa créativité afin d’agencer au mieux les boutiques et créer une ambiance agréable. La vente permet de développer les techniques pour fidéliser la clientèle en la conseillant en fonction de ses goûts et de sa morphologie, en lui proposant l’article adapté à ses attentes. La gestion des stocks, des collections ou de l’approvisionnement permet de développer une véritable stratégie de vente et booster le chiffre d’affaires.
Une demande élevée de jeunes qualifiés liée à l’évolution du secteur
La branche du commerce de l’habillement et des articles textiles recrute. Et environ 15% des employeurs du secteur envisagent d’embaucher au cours des deux prochaines années. Les boutiques sont nombreuses et près de 5 800 emplois par an sont à pourvoir, essentiellement des postes de vendeurs.
Les métiers évoluent avec le développement des nouvelles technologies qui permettent de faciliter la gestion des stocks par exemple, de développer le commerce en ligne et d’utiliser des systèmes informatiques plus performants. Les employeurs recherchent des jeunes qui, au-delà de leur qualité de vendeur ou de responsable, sont à l’aise avec ces nouveaux outils.
De nombreuses opportunités en termes de formation
Les voies pour accéder aux métiers de la branche du commerce de l’habillement et des articles textiles sont nombreuses.
Si la motivation est là, le métier de vendeur est facile d’accès pour un premier emploi, même sans qualification. Il peut faire l’objet de formation en alternance, par le biais d'un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation. Un bac pro ou un BTS (spécialité commerciale) permettent d’accéder plus rapidement à des fonctions d’encadrement.
Par ailleurs, au-delà des diplômes existants, la transmission des savoirs et des compétences par le chef d’entreprise lui-même ou le responsable hiérarchique est au cœur du processus de formation au sein de la branche. C’est un levier important pour acquérir les qualifications nécessaires, notamment pour les jeunes non diplômés.
Des évolutions de carrières rapides
Avec de la motivation et de l’expérience, il est possible de prendre davantage de responsabilités, de devenir responsable adjoint puis responsable de magasin voire directeur d’une boutique ou d’un groupement de boutiques. Il peut alors être utile de compléter sa formation notamment pour accéder à des fonctions d’encadrement ou de direction.
Une fois aguerri aux techniques de vente, il est tout à fait envisageable de travailler dans un autre secteur autour du commerce et ainsi varier les expériences.
Enfin, c’est aussi un secteur actif en termes de création et reprise d’entreprise, offrant la possibilité de devenir son propre patron, de créer sa propre marque !
Mettre en avant l’accompagnement et le fort investissement du chef d’entreprise pour transmettre son savoir faire et donc des compétences à des jeunes qui intègrent l’entreprise sans nécessairement avoir de qualifications.
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